Vous avez un voyage prévu au Chili et vous vous demandez quels animaux vous allez peut-être avoir la chance d’observer ? 🦙🐧
Ou au contraire, vous venez spécifiquement au Chili en quête d’une observation particulière, comme celle du puma ou des baleines ? 🐋🐾
Alors cet article est fait pour vous ! ✨
Afin de sensibiliser nos voyageurs à la protection de la faune locale et à la préservation de la biodiversité de manière générale, nous avons rédigé une série d’articles sur la flore et la faune endémique du Chili. 🌱🦉
Si le sujet vous intéresse, nous vous invitons à découvrir le travail remarquable de la fondation Rewilding Chile, qui œuvre pour la protection de la biodiversité en Patagonie depuis 1990. 🌎
Il est important de préciser que nous n’envisageons l’observation de la faune sauvage que dans son environnement naturel et sans intervention humaine. Nous ne proposerons jamais de tour où les animaux sont tenus en captivité et/ou nourris par l’homme. Certains animaux, comme les baleines, les huemuls ou les pumas, sont observables grâce au travail passionné de guides biologistes et peu propices aux rencontres spontanées non guidées. Pour ce type d’expériences, nous vous mettons en contact avec des guides passionnés, et rappelons qu’il n’y a aucune garantie d’observation.
Maintenant que nous avons établi des bases communes, partons ensemble à la découverte des animaux emblématiques observables dans leur environnement sauvage, au Chili. 🌄
Les manchots du Chili 🐧
Au Chili, le long des côtes, il est possible d’observer plusieurs espèces de manchots dans leur environnement naturel. L’un des endroits les plus connus est l’île Magdalena, près de Punta Arenas. Celle-ci accueille entre novembre et avril des milliers de manchots de Magellan venus pour la nidation.
Mais il existe également 2 autres sortes de manchots : ceux de Humboldt dont l’observation se fait plutôt sur le nord du pays, à la hauteur de La Serena, ou encore les manchots royaux, observables en Terre de Feu.
Note : dans l’hémisphère sud, on dit manchot et pas pingouin.
Où et comment observer les manchots ? 📍
- Le manchot de Magellan est sans doute le plus accessible : il niche en vastes colonies sur Isla Magdalena, que l’on rejoint en bateau depuis Punta Arenas. Notre partenaire local privilégie une sortie matinale par jour pour respecter la tranquillité des animaux. Nous recommandons toujours de rester sur les sentiers balisés et de garder une distance respectueuse, pour ne pas perturber les manchots qui couvent.
- Le manchot de Humboldt se rencontre plus au nord, dans la réserve nationale Pingüino de Humboldt, au large de Punta de Choros. Nous adorons proposer cette excursion à nos voyageurs qui visitent la région de La Serena, car on y observe aussi des dauphins et parfois des baleines ! Le débarquement sur l’Ile de Choros est limité à 1h par les autorités.
- Le manchot royal, bien plus grand que ses cousins “Magallaniques” et doté d’un col rougeoyant, est une vraie rareté en Amérique du Sud. Depuis quelques années, une colonie s’est installée à Bahía Inútil, dans le parc Pingüino Rey en Terre de Feu. Cette observation, à distance, est parfaite pour être incluse dans un circuit autotour en Terre de Feu. Nous la recommandons parfaitement aux photographes amateurs.
Ces observations sont parfaitement compatibles avec notre séjour Patagonie en famille. 👨👩👧👦
Les baleines : le mammifère spectaculaire du bout du monde 🐋
Ce mammifère majestueux nage en saison, dans les eaux du détroit de Magellan avant de remonter autour de Chiloé et puis de La Serena. Voir surgir une baleine à bosse ou apercevoir le souffle d’une baleine bleue est toujours un moment d’émotion intense, partagé aussi bien par les photographes aguerris que par les familles.
Quelles espèces de baleines peut-on observer au Chili ?
- Baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) : célèbre pour ses sauts spectaculaires et son chant, elle migre chaque année entre l’Antarctique et les eaux plus tempérées du nord du Chili pour se nourrir et se reproduire.
- Baleine bleue (Balaenoptera musculus) : le plus grand animal du monde, observable notamment au large de Chiloé, où elle vient se nourrir de krill en été austral.
- Baleine franche australe (Eubalaena australis) : rare, mais parfois observée dans les fjords de Patagonie.
- Orque (Orcinus orca) : plus difficile à voir, mais présente dans les eaux froides du sud.
- Baleine de Minke et Baleine Sei : espèces plus discrètes, mais également présentes au large du Chili.
Migration et alimentation 🌊
La plupart des baleines observées au Chili effectuent de longues migrations saisonnières : elles passent l’été austral (décembre-avril) dans les eaux riches en plancton et krill du sud du Chili pour se nourrir, puis migrent vers le nord pour la reproduction. Leur alimentation est principalement composée de petits crustacés comme le krill, qu’elles filtrent en grandes quantités grâce à leurs fanons.
Où, quand et comment observer les baleines au Chili ? 🗺️
- Où ? Détroit de Magellan au parc Francisco Coloane, fjords de Patagonie, Chiloé, Chañaral de Aceituno.
- Quand ? La meilleure période s’étend de décembre à avril : c’est là que les chances d’observer plusieurs espèces sont maximales.
- Comment ? En bateau, avec un guide spécialisé. Nous travaillons exclusivement avec des opérateurs certifiés, engagés dans la préservation des cétacés. Les sorties se font en petits groupes, avec des guides naturalistes passionnés.
Pour une expérience approfondie, nous vous recommandons une expédition avec des scientifiques naturalistes avec Whale Sound.
Pour une version moins onéreuse, découvrez notre extension observation des baleines : Patagonia Whale Watching Tour.
Le puma : le félin fantôme de Patagonie 🐾
Le puma (Puma concolor), aussi appelé lion des Andes, est l’un des plus grands prédateurs d’Amérique du Sud et un véritable emblème de la Patagonie. Discret, silencieux et parfaitement camouflé, il évolue aussi bien dans les steppes arides que dans les forêts denses du sud chilien.
Où et comment observer le puma ?
- Parc Torres del Paine : C’est l’un des meilleurs endroits au monde pour tenter d’observer le puma, notamment grâce au travail de guides spécialisés qui connaissent parfaitement les habitudes des familles de pumas du parc.
- Région d’Aysén et Estancia Cerro Guido : D’autres points chauds existent dans le sud, où la cohabitation avec les troupeaux de moutons pose parfois problème, mais où des efforts de conservation sont menés pour protéger le félin tout en accompagnant les éleveurs.
- Conseils : L’observation du puma se fait tôt le matin ou en fin de journée, en respectant scrupuleusement les consignes des guides pour ne pas perturber l’animal ni le mettre en danger. Dans notre itinéraire spécial observation de la faune du Chili, Wildlife and Bird Safari in Patagonia, nous proposons cette belle expérience.
Rôle écologique et menaces
Le puma joue un rôle clé dans l’équilibre des écosystèmes patagons, en régulant les populations de guanacos et de lièvres. Il est cependant menacé par la fragmentation de son habitat, la chasse illégale et les conflits avec l’élevage. La sensibilisation et l’éducation des communautés locales sont essentielles à sa préservation, tout comme le développement de l’écotourisme responsable.
Les camélidés andins : guanacos, vigognes, lamas et alpagas 🦙
Au Chili, il n’est pas rare de croiser, au détour d’une piste ou d’un sentier, l’un des quatre camélidés sud-américains. Nos voyageurs sont souvent surpris de voir à quel point ces animaux, pourtant proches, ont des modes de vie et des habitats très différents.
Où et comment observer les guanacos et vigognes au Chili ?
- Guanacos : Observable de la région de La Serena jusqu’en Terre de Feu, ce camélidé sauvage gambade beaucoup dans les steppes de la Patagonie, notamment près de Torres del Paine ou dans la route australe. Il est plus massif que sa cousine la vigogne. Soyez particulièrement attentif le long des routes patagonnes, par exemple entre El Calafate et Torres del Paine, où vous les verrez courir partout.
À savoir : les fermetures des champs avec des barrières sont un fléau pour cette espèce, qui traverse de longues distances, et c’est l’une de leurs principales menaces.
- Vigognes : espèce sauvage également, plus fine que le guanaco et surtout endémique à l’Altiplano dans le désert de l’Atacama, à partir de 2800m d’altitude. Les lieux d’observation particulièrement propices sont notamment les lagunes altiplaniques, comme celles de Miscanti et Miñiques, mais aussi sur la route des Salars. Jetez un œil à notre Itinéraire Atacama & Altiplano, ainsi qu’à son extension dans l’Extreme Nord, pour un circuit qui mixe grands classiques du nord et découvertes hors des sentiers battus.
- Lamas & alpagas : ces espèces ont été domestiquées, depuis plus d’un millénaire, notamment par les Incas. Aujourd’hui ces camélidés sont encore très importants pour les peuples de l’Altiplano, comme les Likan Antay et les Aymaras, qui travaillent la laine de llamas. Il est également possible de goûter de la viande d’alpaga, dans l’Extrême Nord. Morgane et Sofía reviennent tout juste d’un voyage de terrain dans l’Extrême Nord, où elles ont vécu 2 jours dans une communauté qui élève des llamas. N’hésitez pas à nous contacter pour une immersion communautaire, que ce soit dans le nord ou au sud avec les peuples Mapuche, comme le montre notre voyage culturel à la rencontre des peuples autochtones au Chili.
Le renard (zorro) chileno 🦊
Ce petit mammifère peut paraître moins exceptionnel et pourtant il est tout aussi remarquable et endémique que ses cousins plus imposants. Il existe deux espèces principales au Chili : le zorro de Darwin (Lycalopex fulvipes), rare et menacé, que l’on trouve dans les forêts humides de Chiloé et du sud, et le zorro culpeo (Lycalopex culpaeus), plus commun, qui habite les steppes, forêts et montagnes du pays.
Vous aurez peut-être la chance de le croiser dans les plaines de l’Altiplano, ou en haut des montagnes à El Chalten. Rappelons encore une fois l’importance de ne jamais nourrir ces animaux, même s’ils semblent familiers, et de ne laisser traîner aucun déchet.
Où l’observer
- Torres del Paine, Chiloé, forêts du sud : souvent visible en bord de route ou près des estancias. Le zorro de Darwin, lui, est surtout actif la nuit et très difficile à observer.
Les flamants roses : 3 espèces observables dans l’Altiplano 🦩
L’un des plus beaux souvenirs de nos circuits dans l’Atacama reste sans doute l’observation des flamants au lever du soleil, sur la lagune Chaxa. La lumière dorée, le silence du désert, et les reflets roses sur l’eau créent un décor irréel, idéal pour les photographes.
Trois espèces de flamants roses à observer au Chili
- Flamant du Chili (Phoenicopterus chilensis) : le plus grand et le plus commun, reconnaissable à ses pattes grises et à son plumage rose pâle. Il se nourrit principalement d’algues et de petits crustacés, filtrés dans la boue des lagunes salées.
- Flamant des Andes (Phoenicoparrus andinus) : plus rare, il arbore des pattes jaunes et un plumage plus blanc, avec une tache rose sur le dos. Il niche à très haute altitude, souvent au-dessus de 3500m, et se nourrit d’algues microscopiques.
- Flamant de James (Phoenicoparrus jamesi) : le plus petit des trois, facilement reconnaissable à son bec jaune vif et son plumage rosé intense. Il est très sensible aux variations du niveau d’eau des lagunes et dépend d’habitats très spécifiques.
Où voir des flamants roses au Chili et en Bolivie ?
- Salar d’Atacama
- Lagunes Miscanti, Miñiques et Piedras Rojas
- Ruta de los Salares
- Laguna Chaxa
- Salar d’Uyuni (laguna blanca, verde, azul et surtout colorada)
Condor des Andes : l’emblème du ciel chilien 🦅
C’est un oiseau qui est l’emblème national, incarne la liberté et la puissance des Andes. Pouvant faire près de 3 mètres d’envergure, c’est une des espèces d’oiseaux les plus grandes du monde. Il est observable dans quasiment tout le pays, du Nord au Sud.
Où et comment observer le condor au Chili
- Cajón del Maipo : la fameuse “randonnée des condors” est un incontournable pour nos groupes avides de nature. Randonnée facile, à programmer pour une excursion à la journée comme détaillé dans notre guide de visite à Santiago du Chili.
- Parc Torres del Paine : c’est un des lieux de prédilection pour l’observation du condor. Il n’est pas rare de voir ceux-ci survoler ou se disputer une carcasse de guanaco ou renard. Près de la Laguna Sofía à Puerto Natales, il est également possible de faire une randonnée pour les observer.
- Près de Punta Arenas : au sein d’une Estancia peu touristique, des condors ont élu domicile sur une immense paroi rocheuse, idéale pour la nidification. L’observation est possible avec des jumelles directement au pied de la paroi.
- Lauca et Andes du nord : moins fréquenté, mais également possible.
Le huemul : symbole fragile de la Patagonie 🦌
Rencontrer un huemul en Patagonie, c’est un peu comme gagner à la loterie : c’est rare, mais c’est possible ! Après 8 ans d’attente, Florence a eu la chance d’en observer un durant un trekking de plusieurs jours dans le massif de El Chalten.
Où l’observer
- Région d’Aysén : vallées reculées, parcs nationaux comme Cerro Castillo.
- Parc Torres del Paine : possible, mais très rare.
- El Chalten : rare également mais possible puisque Florence a eu cette chance.
Pourquoi le huemul est-il si menacé ?
Le huemul est victime de la fragmentation de son habitat, des maladies transmises par le bétail, et du braconnage. Il resterait moins de 2000 individus à l’état sauvage au Chili. Nous sensibilisons toujours nos voyageurs à la nécessité de rester sur les sentiers et de signaler toute observation à la CONAF ou à des ONG partenaires comme Rewilding Chile.
Vizcacha, pudú, ñandú et autres rencontres insolites 🐇🦌🦤
Le Chili ne manque pas d’animaux plus discrets mais tout aussi fascinants : la vizcacha, sorte de gros lapin à queue de kangourou, se laisse observer au petit matin dans les rochers de l’Atacama. Le pudú, plus petit cervidé du monde, est un trésor des forêts humides du sud, souvent aperçu lors de nos séjours à Chiloé. Quant au ñandú, cousin sud-américain de l’autruche, il traverse élégamment la steppe patagonienne en petits groupes.
Où les voir ?
- Vizcacha : Atacama, Valle de la Luna, Extrême Nord.
- Pudú : Forêts de Chiloé, Valdivia, région des Lacs, également proche des Saltos de Petrohué
- Ñandú : Steppe de Patagonie, San Pedro de Atacama
Les animaux en danger au Chili : agir pour préserver le vivant ⚠️🌱
Comme tout voyageur aguerri, nous sommes confrontés quotidiennement à la fragilité de cette biodiversité. Le huemul, le pudú, le condor, le zorro de Darwin ou encore certaines colonies de manchots sont aujourd’hui menacés par la perte de leur habitat, la pollution, les maladies, le braconnage, la fragmentation des espaces naturels, la compétition avec des espèces introduites, ou encore les changements climatiques.
Il nous semble important de rappeler que le monde entier n’a jamais connu une aussi forte baisse de la biodiversité. Si vous souhaitez approfondir le sujet, nous vous recommandons fortement de suivre le fresque de la Biodiversité. Voici une liste non exhaustive des causes de la perte de biodiversité, au Chili et ailleurs dans le monde :
Menaces principales sur la faune chilienne 🚨
- Fragmentation et disparition des habitats : Urbanisation, routes, barrages, agriculture et élevage intensifs réduisent ou morcellent les espaces naturels nécessaires à la survie des espèces. Les clôtures, en particulier en Patagonie, empêchent les déplacements naturels du guanaco, du puma ou du huemul.
- Pollution : Plastiques, pesticides et polluants industriels contaminent les rivières, lacs et océans, affectant la chaîne alimentaire (oiseaux, mammifères marins, batraciens).
- Espèces invasives : Introduites par l’homme (vison, cerf, lapin européen, truite arc-en-ciel…), elles concurrencent ou deviennent prédateurs des espèces locales, parfois jusqu’à leur disparition.
- Surpêche et exploitation intensive : La surexploitation des ressources marines (poissons, crustacés, mollusques) menace la survie de nombreux oiseaux et mammifères marins.
- Déforestation et plantations industrielles : La disparition des forêts natives au profit du pin ou de l’eucalyptus détruit l’habitat du pudú, du zorro de Darwin ou de nombreux oiseaux endémiques.
- Changements climatiques : Fonte des glaciers, sécheresses, incendies de forêts récurrents, modification des cycles de reproduction et de migration… Le climat change plus vite que la capacité d’adaptation de nombreuses espèces.
Plusieurs associations, comme Rewilding Chile, œuvrent sur le terrain pour restaurer les habitats et réintroduire certaines espèces.
Nous encourageons aussi nos voyageurs à soutenir ces initiatives et à s’informer davantage pour augmenter leur niveau de conscientisation.
Menaces environnementales : déforestation, saumon et cohabitation difficile 🌲🐟
Le sujet peut être, parfois, particulièrement difficile à aborder, car directement lié à l’activité économique du pays. Néanmoins, il est important de savoir qu’au Chili, entre autres, deux exploitations des ressources naturelles sont particulièrement néfastes pour la biodiversité.
La déforestation 🌳
Nos partenaires sur Chiloé et dans la région des Lacs témoignent régulièrement de la disparition progressive des forêts natives, remplacées par des plantations de pins ou d’eucalyptus. Cette déforestation menace directement le pudú, le huemul, mais aussi de nombreuses espèces d’oiseaux et d’insectes. N’hésitez pas à jeter un œil à cet extrait du Patagon journal qui décrypte les enjeux de l’industrie forestière au Chili.
L’exploitation du saumon 🐟
En Patagonie, l’aquaculture intensive du saumon bouleverse les écosystèmes marins. Nos guides à Puerto Natales évoquent la pollution, la propagation de maladies et la concurrence avec les espèces locales comme les lions de mer ou les oiseaux marins. C’est un sujet sensible, qu’il est possible d’approfondir avec les ressources suivantes :
- Oceana Chile
- Reportage Le Monde – “Conséquence sur l’environnement de la croissance de l’industrie du saumon”
Autres menaces
La surpêche, la pollution plastique, l’introduction d’espèces invasives et les feux de forêt sont également des défis majeurs pour la faune chilienne. 🔥
Observer, comprendre, protéger… et vivre une expérience unique ! 🌏🦋
Chez TravelCoachChile, nous croyons que chaque rencontre avec la faune sauvage est une chance, un privilège… et une responsabilité. Notre engagement se traduit concrètement :
- En sélectionnant des partenaires locaux engagés dans la conservation et la recherche.
- En proposant uniquement des sorties en petit groupe, encadrées par des guides naturalistes passionnés et formés à l’observation éthique.
- En sensibilisant nos voyageurs à l’importance de la préservation, à chaque étape du voyage.
Mais surtout, nous construisons avec vous des voyages 100% sur mesure, qui peuvent inclure des expériences privilégiées pour l’observation de la faune sauvage :
- Séjours dédiés à la photographie animalière (pumas, baleines, oiseaux…)
- Immersions dans des communautés locales qui protègent et valorisent leur environnement
- Expéditions scientifiques ou randonnées thématiques avec des guides biologistes
Votre curiosité et votre respect sont les meilleurs alliés de la biodiversité chilienne. Prêt·e à vivre un voyage responsable, intense et inoubliable ? 👉 Demandez votre devis sur-mesure pour un voyage nature & photo au Chili
